En tournant les pages de son Canard enchaîné, l’œil amusé par la verve aiguisé des journalistes, il savoure l’instant. Vautré en terrasse, comme jadis son père, il compte les jambes par paires. Il appréciait bien plus les filles odorantes de l’aube que les endimanchées suintantes de la nuit. [...]
(Source : Des pensées sans compter...)
Voir en ligne : G20, ED et les autres