« La presse satirique est vitale si nous voulons garder les yeux ouverts » (Le Graoully Déchaîné)

Amis messins, bonjour ! Je vous écris depuis la pointe Bretagne où j’ai eu la surprise, au réveil, de voir que ma fenêtre était pleine de givre et, à ce tire, opaque. De surcroît, le verglas rend la circulation difficile… Enfin, ça ne m’empêche pas d’être en mesure de vous offrir ce septième opus du « Poulet de presse » ; c’est parti, mon kiki !

Le Canard enchaîné, n°4697 (3/11) : Dans le dernier « poulet de presse », je vous rappelais que Le Canard révélait que le pouvoir l’espionnait à cause d’un article que le « palmipède », comme l’appelait De Gaulle, avait publié dans son édition de la semaine précédente et dans lequel il accusait Sarkozy de superviser directement l’espionnage des journalistes. J’ai donc décidé de découvrir l’article en question. L’hebdomadaire, par la plume de son rédacteur en chef Claude Angeli, présente les faits ainsi : Bernard Squarcini, patron de la DCRI, met sous surveillance les journalistes qui s’intéressent de trop près aux affaires gênantes pour le pouvoir, sur ordre de l’Élysée. (…)

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(Source : Le Graoully Déchaîné)