Le Canard enchaîné n’est jamais le dernier à s’amuser des fautes, perles et coquilles dont se rendent coupables ses confrères de la presse écrite. Mais il faut lui rendre cette justice : quand ils seraient rares, il sait, dans ce domaine, reconnaître ses propres couacs et s’administrer, à l’occasion, ce qu’il appelle un « Pan sur le bec ».
(Source : À la fortune du mot)
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