La presse a largement rendu compte de la destruction des locaux du journal Charlie Hebdo, du piratage de son site et des menaces de mort contre les dessinateurs du journal. D’après Charb (directeur de publication), il ne fait aucun doute que l’incendie d’origine criminelle, soit en lien avec le choix du journal de brocarder les islamistes tunisiens et libyens cette semaine. Dès mardi 1er novembre, une avalanche de commentaires hostiles ou au contraire solidaires sur (...)