Comment le président du Conseil Général tombe de sa branche...
mercredi 16 mars 2011, par CIXI-HELENE
« Oui ! Je vous le dis ! Je vous dois la vérité… j’avais mon frère au téléphone ! Oui ! Je lui parlais… comme je parle à ma fille ! Est-ce un délit ? Oui ! Nous parlions de tout, et de rien ! Si mon frère Alexandre a commis des fautes, un délit, il faudra qu’il en réponde ! Je suis corse ! Je porte le nom de Guérini ! Je porte en moi un délit de patronyme, frère de, forcément coupable ! Ça su-ffit ! Là, je siffle la fin de la récréation ! »
Tout dépend de quelle récréation et dans quelle cour Jean-Noël Guérini parle ou gémit, car, à mon avis, il est bien loin de celle d’une maternelle ou d’un collège d’ados acnéiques. Il y a toujours un côté pathétique qui tend presque vers la pitié quand on écoute à sa tribune un politique qui sombre. Qui sait qu’il sombre.
Voir en ligne : Jean-Noël Guérini, cui-cui, il est cuit !