Jeux Olympiques aux limpidités athlétiques antiques dopées au colonialisme chinois et tout le monde marche et mange à la baguette, de quoi se faire bien des "souchis" et inquiétudes. Mais ne cherchons pas la p’tite bête au Tibet métissé de force pour n’avoir plus rien à revendiquer et surtout pas son identité réduite au plus communiste dénominateur chinois nivelant la pensée millénaire du Bouddha-laï lama dans son exil méditant, pervertissant la légendaire non-violence des monastères car même la ti bête acculée peut devenir dangereuse. Quand il s’agit de sa survie, même le sage agit !... Et ne nous trompons pas : ti bêê n’est pas le pays des moutons mais celui des lamas.
Sous prétexte de l’attente de contrats de commerce juteux avec le plus vaste marché de la planète, faut-il se servir de la fraternité sportive comme d’un alibi pour dissimuler l’atteinte permanente aux droits de l’Homme et pour un économique débouché, justifier la sanglante répression des bouchers ajoutant au génocide culturel entrepris depuis des années la réalité d’un massacre bien physique aux relents de purification ethnique ?
Le sort de ce peuple menacé de mort est aux yeux du monde anesthésié par le sport devenu opium des nations tout comme pour certains la religion et la poudre aux yeux dissimulant l’odeur de la poudre des fusils de l’occupant avec la passive bénédiction de l’occident. Or et argent sont les agents menant ce monde tout comme celui des médailles fait courir les athlètes. Ironie d’un seul et même maître !
À quoi s’attend-on d’autre quand tout ça tend seulement vers le règne de Satan devenu Lucifère de la flamme olympique ? Sinon à toujours plus de tensions, de pressions, d’oppression. Attention ! Boycotter, c’est coton comme les importations, alors... ex-sportons !